Rapport aux temps qui courent, j’arrive un peu tard... C’est la soif de lumière sur la peau, sans rien ni tulle — tiens, toi aussi le tulle, Joseph ? Dais à voilette, douches pointillées, siestes à plumetis, l’art de mettre un cerne au rien avec des trous... C’est la faute aux ronces aussi, en gerbes fusantes, avec lesquelles le combat fraternel fait sur la peau un habit rouge pointillé changeant qui va bien.
Ton a contrario, j’ose pas dire dialectique, de la cravate portée finalement « sans raison [décelable au premier degré] » est exemplaire. En fait, seuls les épluchés vifs et les cadavres en masse (...)