Oui, ça va poser de vraies questions en terme de réappropriation de l’espace public... et le ciblage, je suis également sceptique là-dessus : on est davantage dans une colonisation des imaginaires comme dirait Edouard Glissant - ça fonctionne de manière massive, comme par asphyxie. Mais allez, on établira des nouvelles cartographies urbaines pour repérer les zones où les dérives mentales sont possibles...