D’abord, tant qu’il existera une place de patron du CAC40, il y aura un patron du CAC40. Qui fera des saloperies parce que c’est cela qu’on attend de lui. Ce sera sans doute un salaud, mais ça fait partie du job.
Critiquer la morale de ce patron, c’est juste être très naïf ou cynique. Le vrai problème est la place du patron.
C’est un peu comme quand on dit que la solution, c’est de moraliser les banques, ou la classe politique, tout ça c’est de la poudre aux yeux. C’est très soc-dem.
Dire qu’on ne peut être de gauche qu’à partir du moment où on est pur et sans tâche, c’est vraiment n’importe quoi.
La (...)