Un vieux maître n’a pas besoin d’être grincheux et accablant pour être bon. Je comprends qu’il faille piquer et faire mal parfois, mais est-ce une raison pour en faire une méthode systématique ? De plus, il est tout de même effarant que c’est le pourfendeur des patrons salauds qui lui-même se permet un tel comportement. Où est la vérité ? C’est à la fois très humain et très vertigineux