Vous persiflez, mais je note que vous n’avez pas grand-chose à vous mettre sous la dent.
« Il doit bien connaître l’auteur de l’article, pour se livrer autant. Quelle chance de tomber sur un tel témoignage, sinon ! »
Et quand bien même se connaîtraient-ils, qu’est-ce que ça change. Ça invalide son témoignage ? Bien sûr que non. Ça invalide les autres témoignages ? Pas plus.
« Les faits ont changé a posteriori ? »
L’article est extrêmement sourcé, fouillé et documenté. Et il fait 42 000 signes, soit une longueur impressionnante. Que l’auteur ait pu faire une fois une confusion sur une date, malgré les (...)