Faire de « bons reportages », « être reconnu dans son travail », etc etc. Certes les raisons ne manquent pas d’accepter l’inacceptable, mais quand même, l’aliénation va loin. Il est temps de déconstruire la logique médiatique, son contenu, ses pratiques, et de faire les choses autrement, non ? Quel comble quand même, que les gens qui travaillent pour une émission à contenu si « engagé » (tous, en plus !) aient finalement si peu de recul sur leur propre situation, sur la manière dont l’info est produite.
Un anarchiste aurait envoyé un mollard dans la face du patron depuis bien longtemps, et cherché une (...)