Je suis assez d’accord c’est dans les têtes qu’il faut changer. D’abord il n’y a pas de petits chefs de bas étage ou de bons chefs : dès qu’il y a chef ou même embryon de petit chef, ou leader maximo ou leader minimissimo ou embryon de maitre à penser, c’est déjà cuit. C’est à refuser par principe : il n’y a pas de bon ou mauvais patron, dès que quelqu’un a un pouvoir quelconque aussi minime soit il, il a fait une bonne partie du chemin pour être un vrai crétin. Ensuite il y a la société du spectacle et sa branche médias et communications : la question est de savoir si on la refuse totalement et sans réserves (...)