« ose me dire que ce papier sur Mermet n’est pas incroyablement sourcé et fouillé, que ce n’est pas un vrai bon papier. »
Il ne vous le dira pas, mais moi j’ose.
Une chose enseignée en école de journalisme, c’est l’obligation faite à un journaliste de permettre à une personne mise en cause de présenter ses observations avant la publication d’un article la concernant. Vous ne respectez pas ce principe élémentaire de l’information. Donc, ce brouet éditorial sera crédible le jour où son auteur aura pris la peine d’interroger Mermet sur ce qu’il en est de cette affaire et aura retranscrit dans l’article la (...)