Salut Julien,
Fin de journée de novembre 2009. Après ton reportage sur la lutte victorieuse de quelques « paysans » pour sauver leur bureau de poste à Leyr en Lorraine, je te reconduis à la gare de Nancy d’où tu rejoindras la capitale. Le temps est gris, humide et froid. Soudain ta voix s’illumine, tes yeux se font graves : « demain je passe un entretien d’embauche à France Inter. J’espère pourvoir intégrer l’équipe à Mermet ! » Les mois passent. Toujours rien. Puis un jour : « nous terminons ce journal par le football où nous rejoignons Julien BRYGO » ??? Aujourd’hui, je comprends mieux ! Che Guevara écrit (...)