Merci pour l’info. Cette histoire confirme que les journalistes lessivés ou devenus tricards dans leur propre entreprise de presse se retrouvent souvent dans un dramatique état d’isolement. Ne serait-il pas temps de penser à créer un syndicat des journalistes précaires, avec ses thèmes et son organisation horizontale propres, sans lien avec les grandes centrales et leur politique florentine ?