Ce peut être en effet une façon pas absurde d’aborder la question si jamais on considère qu’il est absolument nécessaire de s’opposer à la FIV et au DPI, ou bien si l’on considère qu’il est stratégiquement pertinent de dissocier les questions (ce qui sont deux raisons bien différentes !).
Pour ma part, je n’ai pas d’avis définitif sur la nécessité de refuser résolument FIV et DPI. Ou plus précisément, je considère qu’il est malhonnête d’en parler sans y coupler une analyse critique de l’assignation sociale des femmes au service reproductif. Pour le dire vite, c’est une évidence que de prétendre que refuser (...)