Moi je dis bravo et merci à cet article, comme je soutiens et remercie celles et ceux qui ont porté cette tribune dans le Monde (quand bien même je suis très critique sur l’idée d’y publier quoi que ce soit).
Parce que justement, j’y lis une tentative de réfléchir profondément, au-delà des fantasmes et de l’air du temps, quitte à prendre le risque d’aller là où la pensée se cogne le front à l’hystérie polémique. Un espace dont la violence de l’époque interdit l’accès sous prétexte de l’impératif de se dresser contre un hypothétique ennemi commun. Un espace dont même la gauche radicale (et au-delà) a du mal à se (...)