vendredi 19 juillet 2013 à 18h47, par Gilbert Duroux
« Votre réponse c’est que Cyran pratique un journalisme engagé et qu’il décide donc qui doit parler et qui doit être ignoré. »
Non, il choisit de parler de ce qui est ignoré. Encore une fois - Godard avait raison - l’objectivité ce n’est pas « une minute pour les juifs, une minute pour Hitler ».