L’idée me plait, surtout lorsque je vois Mr Quadrupani himself être de la partie ! Par contre j’avoue que je ne sais pas ce que je pourrai raconter qui ne viendrai pas ternir une si prestigieuse ligne éditoriale. A moins qu’un traité sur le rosé à travers les temps et les ages puisse passer les « ciseaux d’Anastasie » des frangins ?