Lemi, ta façon d’écrire à propos d’un ami mort est loyale. Il y a une zone autour de la « vraie » douleur dans laquelle on ne peut littéralement pas prononcer un mot. Et c’est bien comme ça.
Bilal, on dirait Traven. Ou d’autres.
Il n’y aucune place dans le monde, aucune place sur cette terre pour des personnes justes.
Sauf dans le coeur de ceux et de celles qui les aiment