un cultivateur breton me précisait dans une tournée promotionnelle de la tomate sur Nantes que leurs serres consomment de 200 à 300 kWh par mètre carré et par an d’énergie primaire (fioul souvent, rarement gaz, soit l’équivalent logement classe D ou E, gaspillage énergétique donc...) et que les rejets de CO2 étaient entièrement assimilés par les tomates (photosynthèse augmentée)