Bien incisif tout ça, je m’a régalé ! Et pourtant j’aime l’oeuvre de Nougaro, qui a fini sa vie dans un petit village de l’Aude, peu soucieux de devenir la figure de proue d’une ville qui sut accueillir, à la française, les immigrés italiens...Il a dû sentir, lui aussi, cette odeur de violette entêtante posée sur Toulouse comme un châle sur les épaules d’une vieille catin.