I see... En ce qui concerne le métro en revanche, je suis quasi certaine que ça changerait (presque) tout. Il n’y a qu’à voir le nombre gens qui y lisent les gratuits : ce n’est pas uniquement par masochisme, ni par manque de fric, mais parce que, pour peu qu’on n’ait pas pensé à prendre un bouquin, la probabilité de s’emmerder lors d’un trajet en metro est élevée, bien plus que dans un bar, un lieu associatif etc. Et on y est plus disponible que dans la rue pour écouter les trente de secondes de présentation du journal, bref sûr que ça se vendrait comme des petits pains, et toucherait un autre lectorat (...)