@ Olivier Bonnet : c’est une bonne question, j’avoue ne pas avoir de réponse. Je sais une chose, seulement : je ne crois pas que l’indignation soit futile, pour peu qu’elle s’appuie sur autre chose - cet autre chose peut être très large, pour peu que ce soit inventif, radical et ambitieux.
Je crois que nous faisons face à un ennemi particulièrement dangereux, en un époque toute aussi particulière. Et là, j’ai l’impression que les vieilles recettes ne fonctionnent pas, qu’elles brassent un vent dont eux-mêmes arrivent à tirer profit. Dans l’absolu… des bombes, du sexe, de la joie et des idées, beaucoup (...)