Je ne peux pas croire que la grisaille automnale te conduise à cette apparence d’aquoibonnisme devant l’ampleur du désastre en cours, dont, j’en suis bien d’accord, nous mettrons très longtemps à nous relever (du moins par les voies de l’alternance démocratique...)
Même si, au regard de l’insurrection et de l’explosion de la vie, s’indigner, manifester, pétitionner, revient à pisser dans un violon, comme disait ma grand-mère, je crois qu’il faut continuer à le faire.
En essayant d’être parfois un peu plus inventifs...
Tiens, par exemple, on peut essayer avec une (...)