c’est bien les bobos crachez sur la cgt avec libération le monde etc ..... prétez le fklanc à la manip anti cégéstiste. bons toutous va !
les moins bornés liront cette réaction d’un « qui y était » :
Imagine-t-on les victimes des pollutions industrielles aller occuper, pour protester, le siège de green peace ?
Imagine-t-on les victimes de la réforme de l’éducation aller occuper les locaux du collectifs contre la réforme Darcos ?
Imagine-t-on ..... Non.
Mais au delà des formes qui demandent à être recoupées, au delà des habitudes rédactionnelles de la coordinations des bobos du 3e qui se réjouissaient publiquement de voir le mouvement syndical paralysée, les mêmes qui ont manifesté quand la cgt a fait respecter à 150m de là le droit syndical au siège de « julyration », voila un ans que ceux qui se battent et font régulièrement régulariser les sans papiers (avec plusieurs centaines de régularisations à leur actifs contre les services de Hortezy-Sarkofeu, à partir de luttes revendicatives DANS LES LIEUX D’EXPLOITATION ne peuvent plus accéder à leur locaux.
Et là silence radio dans la presse et leur relais bien pensant de tout horizon. (je dis bien TOUT).
Je note que dans le troquet du banquier bordelais qui n’a pas vocation à cristalliser les préoccupations de toute la planète(même s’il fait de louables efforts pour au moins faire que cela soit connu) cela apparait maintenant sans que la question des libertés d’usages des locaux syndicaux n’aient préoccupé ici ou ailleurs (Drancy, Chateauroux, et combien d’autres) avant que d’aucun (e) batifoleurs (euses) du champ de courses des libertés aient de soudaines révélations.
J’aurai aimé que ce que j’avais abordé (je reconnais, à la marge) dans ce que je publie ici ou là soit relevé pour éviter cette fausse question :
Sont révolutionnaires et bénéficiaires dans cette alternative ceux qui vont emmerder ces pochard brutaux de fonctionnaires de la cégète et les militants (notons pour rétablir un peu la réalité que ce sont ceux qui sont en tête des coups de matraques sur la gueule et des listes de licenciements, parce que pour un délégués sur les listes, il y à trente ou quarante filles ou gars sans mandats) et serait pureté démocratique une bande de mafieux qui vivent de la détresse humaine ( je pèse mes mots), qui n’ont JAMAIS été se coltiner avec les tauliers et viendrait avec l’aide des média et de tout ce qui saute comme un cabris dès qu’on peut se faire les cégétistes dénoncer ceux qui au quotidien font régulariser les sans papiers ?
Vous connaissez ici mes colères sur des orientations et débats dans le syndicat. mais là, non. Stop. voila un an que je ne peu pus organiser la moindre rencontre à l’UD dans mon champ de responsabilité.
Nous avons vu anéantir 20 ans de travail pour la modernisation de la BdT,travaux réalisés et immédiatement vandalisés (avec une passivité complice des mêmes qui depuis un an nous montrent du doigt). La mairie du Paris (du moins la partie administration financière de la majorité municipale) rêve de nous retirer la gestion des locaux pour les banaliser, elle s’appuie sur ces faits pour avancer ses pions.
Mon seul regret,et j’ai été battu par la patience et la volonté de mes camarades de régler à l’amiable (ils sont loin d’être payé en retour et je leur avais dit) c’est de ne pas avoir régler cette question dans la semaine du 02 au 07 mai 2008.
Quand nous avons proposé l’occupation du Medef, ils ont eu peur. Pour d’autre lieux plus accessibles, ils ont eu le courage des soldats du pape (pourtant nous assurions la logistique, la première ligne et la majorité des troupes). Quand les sans papier des boites, avec nos potes de professions et des UL ont été occuper 24h/24 leurs entreprises et les boites d’interim et autres lieux d’organisations de leur sur exploitation, les « insurgés de la BdT » les ont laissé tombé, ils « gardaient les locaux » mais tenaient conférence de presse pour dénoncer la cgt qui montait « des dossiers sélectifs » ’pour ceux effectivement dans l’action. Eux n’en montaient pas.
Les mêmes qui crient syndicats trahisons et ne sont pas syndiqués appellent au secours pour occuper la bourses du travail et décident « que dorénavant elle leur appartient » ?
Et bien non !
Et cela vaut pour tous, la Bourse du Travail appartient à ceux qui se battent dans les boîtes et leurs syndicats, c’est un fait historique que nous feront respecter..
C’est ainsi et tant que cela possible, cela restera.
Aussi regrettable que soit cette situation, elle n’est pas le fait de la CGT.
Bien sur, elle va permettre une opération du type foyer de Vitry contre le syndicat ou par haine du monde du travail et ses organisations pour tout ce qui a le sacrum qui vibre dès qu’on peut se faire les prolo. Ils vont s’en donner à coeur joie.
Je parie que Libé et le Figaro vont chacun avec leur partition être en pointe, que l’immonde donnera des leçons et que dans l’Huma, d’aucun (qui ne se sont jamais posé la question de savoir si les vigiles de la fêtes de l’Huma avaient droit à des papiers en règle) vont avoir des interrogations existancielles sur l’état de conscience du monde du travail.