Un petit village, à deux heures de route de Tunis – autant dire : très loin de ma cambrousse ardéchoise natale. J’étais parti prendre un bol d’air loin de la capitale et de son agitation révolutionnaire, pensant m’aérer les neurones et les poumons, j’en ai ramené une cheville foulée. C’était en mai dernier, avant les élections, mais après la chute du despote. Retour sur randonnée.
Cet article a été publié dans le numéro 5 de la version papier d’Article11, en juillet, soit bien avant les élections (...)