On croit toujours que la presse alternative roule sur l’or. Qu’elle tourne à la coke, aux biftons de 500 et aux colloques à Marrakech... Bah non. En fait, elle galère, pauvre comme Job, voire plus ; rogne sur chaque dépense, chaque boutanche de Villageoise. Aujourd’hui, c’est les camarades et amis de La Brique, excellent canard lillois, qui auraient bien besoin d’un petit coup de pouce.
Sur le fil, toujours. Quelques centaines d’euros d’avance, parfois ; quelques milliers, rarement - lorsque des (...)