Bon, j’arrive un peu tard : déménagement foutraque vers le mieux en compagnie de mon frère, encore plus vieux que moi, muni de tous ses outils et de la philosophie Nanarland, qu’il m’a fait découvrir il y a quatre ans. On mettra tout comme il faut avec des mèches qui rebiquent, y compris celles des perceuses : nanar biscornu ou rien ! Nos vies ne sont pas faites pour le garde-à-vous du placoplâtre en tous points hideux,, et la sagesse des maisons terrées à flanc de granit non plus. Le nanar est là pour nous rappeler que « [...] l’imparfait / est une autre forme de la perfection : / la forme que la (...)