Le 6 décembre dernier, Evo Morales était réélu à la présidence de la Bolivie. Victoire nette et sans bavure (64%), pourtant souvent regardée de haut, déformée. Loin de tout manichéisme, Pablo Stefanoni, directeur de l’édition bolivienne du Monde Diplomatique revient en détail sur les significations de cette victoire et sur les défis qui se profilent à l’orée de ce second mandat. Salutaire.
Tellement de conneries ont été dites depuis la réélection d’Evo Morales à la présidence bolivienne, il y a environ (...)