@ PPellicer : j’approuve en tous points. Le côté « simplicité volontaire » (au sens positif), l’absence de fioritures graphiques et le noir&blanc donnent finalement une vraie identité au journal. Surtout que, depuis que tu l’as vu, Le Postillon a évolué : avec le cinquième numéro, il est passé à un vrai format journal (façon Plan B et Le Tigre), ce qui donne plus de clarté et d’espace à l’ensemble.
Et oui, il y a un vrai boulot. Les dossiers - entre autres - sur le Dauphiné Libéré et la vidéo-surveillance à Grenoble sont fouillés et passionnants.
@ J.Gorban : oui, le lien humain est irremplaçable. (...)