lundi 20 septembre 2010 à 00h08, par pièce détachée
Tout lu posément, d’une seule traite absorbée —même pas de clope, juste deux pauses pour le verre de Chardonnay. Du jamais vu.
À relire encore et encore, avec le recul qu’on s’imaginera avoir plus tard.
En attendant : c’est éclatant (la dialectique, l’honnêteté, la souplesse des lignes de fuite), superbe et pas commode.