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Grandeur et décadence du préjugé littéraire

vendredi 21 janvier 2011 à 11h02, par Isatis

Plutôt que des préjugés, j’aurais des restrictions mentales d’une bêtise confondante sans même essayer de m’en défaire. Entendre Duras en entretien un jour a suffit pour que jamais je n’ouvre un bouquin de cette poseuse, penser aux positions d’Hugo ou de, pire encore, Chateaubriand, me fait fuir. Imaginer la face d’empeigne de Houellebecq et le souvenir cuisant du seul livre de lui que j’ai réussi à finir je ne sais comment me fait réfugier dare-dare dans un bon polar. De toute façon, j’en raterai des milliers d’ouvrages alors pourquoi me forcer, hein ...... Et, au fait, Pygmy, ça m’a vachement plu. Pas (...)


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