dimanche 1er janvier 2012 à 07h47, par Garnier Jean-Pierre
Ce qu’il y a de fatiguant avec l’anonymat des e-mails, c’est que n’importe qui peut dire n’importe quoi. Sans devoir raconter ma vie, je signale que mes parents étaient effectivement fauchés comme les blés. Mais je connais aussi des « petits cons » dont les parents étaient friqués, sans pour être devenus de gros cons pour autant. Et d’autres qui, à l’inverse, le sont devenus bien qu’issus de familles « défavorisées ». Paraphrasant Simone de Beauvoir, je dirais : « On ne nait pas con. On le deviens ». (...)