vendredi 27 janvier 2012 à 20h35, par pièce détachée
En théorie, je suis tout à fait d’accord. À défaut d’entendre et de parler toutes les langues (mon rêve !), s’intéresser un peu à la façon dont celle-ci ou celle-là — le choix est encore vaste — structure ses représentations de « la » réalité, même si l’on sait bien qu’on ne les maîtrisera jamais, ça dilate et réjouit l’esprit (et les organes phonatoires) vers des horizons magnifiques.
En pratique, même s’il « suffit » de se mettre dans le crâne une poignée de mots et d’expressions imprononçables pour faire de belles rencontres, toute conversation un peu nuancée exige des interprètes, une attention dévorante et du (...)