Entendu sur France Culture hier, au moment où s’expriment tour à tour le médiateur de FC et son directeur, Olivier Poivre d’Arvor, un moment tout à fait révélateur de ce que le mouvement collectif (tout sauf) spontané du week-end du 10 janvier est pensé et vécu par vraisemblablement l’essentiel des « élites » du pays : une assimilation totale et complète de toutes les personnes qui « ne sont pas Charlie » à une étrange catégorie, celle des « perdus de la République ».
En d’autres termes, avoir senti une réticence à s’embarquer dans le mouvement « je suis Charlie », et surtout s’être écouté pour ne finalement ne (...)