Tiens, ça me fait penser que j’ai, dans ma bibliothèque, une revue de « Multitudes » sur Guattari justement. Assez dense, je n’ai pas eu le courage de la lire entièrement... Je vais m’y replonger et par la même occasion, lire « Années d’hiver ». Je suis d’accord avec Moh : le discours de Bernard Stiegler est séduisant car il apporte une tonalité vraiment différente au brouhaha actuel.