ce commentaire pue l’extrapolation...
on ne parle pas du droit au blasphème, mais du droit de se foutre de la gueule une énième fois d’une communauté qui n’est pas - du tout - représentée politiquement (alors qu’un français sur 10 est musulman), mais au contraire harcelée (des exemples sont disponibles dans l’article) et qui n’a donc pas les moyens de se défendre sur ce terrain. et on parle du droit d’appeler ces gazouillis avec le pouvoir en place de la satire subversive, anti-establishment.
la liberté d’expression en france elle est largement plus mise en danger par bouygues, dassault et lagardère (...)