Aux mauvais coucheurs se disant défenseurs de « leur liberté ».
C’est trop facile de se défausser en attaquant ceux qui dramatiquement ne sont plus là, en renvoyant le racisme à la figure de ses ennemis, en masquant le vrai sujet de la solidarité humaniste de « je suis Charlie » derrière la haine d’un journal ou d’un autre, en s’abreuvant de la pseudo-intellectualité d’un Cyran ivre de vengeance crachant dans la soupe populaire dont il s’était repus.
En refusant de la voir ou d’en débattre réellement, nier la réalité de la prise de conscience nationale, humaine contre la barbarie, c’est donner (...)