vendredi 5 juillet 2013 à 15h13, par Barbara Salutati
Bravo Olivier, pour ce travail de mise en ordre de ce qui relève du pathos et où les victimes finissent par se noyer. Les histoires ne passent jamais si bien que quand elles sont racontées par des exemples individuels.
Beaucoup se reconnaîtront qui n’ont pas eu à faire avec DM, mais avec des tas d’autres petits potentats d’intérêt local, qui, à tous les niveaux, émaillent la presse, et d’une façon plus générale, tout le secteur « culturel », qui, dans nos sociétés pourtant avancées, joue toujours les « suppléants d’âme » - ce qui n’a pas de prix, donc n’a pas à être payé.
Cela dit, comme le disait ma (...)