Votre article se lit comme un récit, et en plus permet de s’interroger sur la transmission d’une pensée collective. En bref, ce système -médiatique, politique, économique- impose des images récurrentes, des visages ou des voix fixes : mais on le sait depuis un bail, la nécessité de s’identifier à un(e) seul(e) est proprement une autoroute vers la catastrophe. Mermet et l’anti-capitalisme, c’est un peu comme Eltsine et le marxisme : une plaisanterie de comptoir au bar Le Zèbre Furieux. C’était déjà en filigrane dans les écrits de Debord, pas vrai ? Intéressant aussi, dans le cadre de votre article, cette (...)