Il faut rappeler le contexte de ces quelques lignes (comme l’a d’ailleurs en partie fait Olivier Cyran). Amina est une femen tunisienne qui à sa façon alertait sur le péril ressenti par de nombreuses femmes quant à l’évolution de certains de leurs droits suite aux propositions d’Ennhada et de l’autre parti islamiste dont j’ai oublié le nom (pardonnez moi). Le texte de soutien de Bernard Maris (certes grossier) dénonce donc ces activistes fondamentalistes, liés aux partis islamistes, qui souhaitaient voir reculer les droits des femmes dans la Tunisie de demain. « les cochons du désert » et « crétins (...)