Cette casse c’était un avertissement : il y a aura des gens prêts à défendre la ZAD en cas de besoin (une fois retombée la pression des élus liée aux municipales, par exemple...), et nombreux, et de partout ; il y aura des gens pour soutenir ces gens, pour exercer une vigilance face à la montée en puissance de la répression des luttes.
C’était pour rendre visible des rages, des questionnements, des remises en question, que chacun pouvait ressentir au fond de soi dans sa chair. Dans la foule, au milieu du gaz lacrymogène, entouré par des gens qui jettent des pierres ou qui se tiennent debout, qu’on (...)