fantomas, tu me fais chanceler dans mes opinions. J’ai été transporté par cette absence de finalité, paradoxalement ça m’apparaissait comme très pragmatique. L’idéologie m’a toujours fait peur et la téléologie m’a toujours semblé être la raison d’être de l’idéologie. En plus de ça la finalité met en suspend l’instant présent, relègue sa raison d’être à quelque chose qui n’existe pas, pas encore en tout cas, ce qui a tendance à générer chez moi une perte de sens qui me fout le vertige. Sans compter que ça m’a pas mal ravigoté de penser la fin de notre état comme inéluctable, comme un évènement qu’on aurait même pas à (...)