En grève de la faim depuis douze jours contre leur licenciement, deux ouvrières tunisiennes de Latécoère s’éteignent peu à peu. Les syndicats, dont elles ont porté haut les couleurs révolutionnaires, brillent par leur inertie - l’heure ne devrait pourtant franchement pas être au « dialogue social »… L’ami Pierre Souchon, qui les accompagne depuis un an dans leur combat, dénonce cette terrible situation.
« Dégage ! »
Latécoère le mérite. Oui, la multinationale toulousaine de l’aéronautique, implantée en (...)