J’aime bien moi aussi cette idée de morphino. Enfin, « j’aime bien »... En fait, une alternative est soit de s’écraser dans le système, soit de s’inventer des (pseudo-)bulles hors-sol de micro-utopies très élitistes, il faut bien le dire, à la René Riesel ou à la TAZ (voir aussi ici). Hors de cette alternative, « jouer le jeu à moitié et être déviant au cœur du bordel » : oui cent fois. Même si ça implique d’être constamment en porte-à-faux, d’être un suspect facile pour (presque) tous, de sentir des tenailles nous mordre le cœur.
Bon. J’étais pas venue m’essayer au lyrisme douloureux... (...)