vendredi 21 février 2014 à 16h07, par Julia Zortea
Début des années 1980, Anvers : le duo État Brut sort un album intitulé « Géométrie d’un assassinat ». L’un des morceaux, « Jacqueline Michaux », donne la parole à une femme racontant sa solitude au sein du grand port belge. Trente ans plus tard, le film « L’Ange de Doel » (2011) livre un autre fragment sur l’isolement, lié aux politiques d’expansion du port.
Cette chronique a été publiée dans le numéro 14 de la version papier d’Article11
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À l’origine, Géométrie d’un assassinat n’est pas une chronique (...)