Très bon texte, l’ami JBB.
Cette histoire me rappelle une ligne de tension que l’on retrouve parfois dans certains pans du secteur associatif « engagé », où au prétexte d’une adhésion au projet politique dans un contexte économique souvent précaire, on ne compte plus les heures de travail supplémentaires, on ne respecte pas les conventions collectives (quand elles existent), et parfois on doit composer à un patron (le ou les membres du bureau ou le délégué général) qui se comporte comme un connard. Les joies de la servitude (...)