Dans la première version de son Exercice de la psychogéographie, Guy Debord cite Léo Cassil comme étant « psychogéographique dans le voyage » (voir Le Marquis de Sade a des yeux de fille… , lettre à Ivan Chtcheglov du lundi 23 novembre 1953, p. 145) mais dans la version définitive de ce texte paru dans Potlatch no 2 (29 juin 1954), il n’en est plus question : Léo Cassil a disparu et Debord nomme à sa place Pierre Mabille comme psychogéographique dans « la compilation des merveilles ».
Il faut donc admettre que la grande influence supposée de ce livre de Léo Cassil sur Debord et les situationnistes fut (...)