samedi 22 octobre 2011 à 19h04, par Solidario de Pau, varan des khlongs
Bien senti, l’article.
L’une des histoires ayant inspiré le récit m’en rappelle une autre, qui ne finit pas au bagne, celle-là...
Extrait de l’ouvrage Les fils de la nuit. Et c’est pas le seul passage qui frappe fort.
"La Calle était, quant à lui, d’un tempérament contraire à celui de son compatriote. Espagnol, né à Barcelone, il n’avait jamais connu ses parents. Il avait été élevé dans la rue et y avait grandi, d’où son nom : La Calle (la Rue). Petit (1,45 m ou 1,50 m), La Rue portait bien son nom : parfois bruyant, parfois silencieux et sombre. Franc, il ne cachait pas sa haine ou son mépris pour tout ce (...)