Certains commentateurs ci dessus ont justement appuyé le doigt là où le bât blesse, à savoir que ce texte n’échappe pas à ce qu’il dénonce : la stérilisation de toute critique. Il en va souvent ainsi des longues et multiples démonstrations pro-situs, qui, depuis l’Encyclopédie des Nuisances, nous dépeignent avec les beautés de style du cardinal de Retz le triomphe amer des dominants. Il faudrait donc que le « populaire » s’empare de la critique pour qu’elle devienne effective ? Mais un certain Karl Marx n’avait-il pas dit une chose semblable en déclarant que les armes de la critique devaient laisser place (...)