Mais peut-être que vous partez du principe que l’Iran, pays avec lequel Soral a des liens poussés et même claironnés, présente une forme d’islamisme - certes plutôt chiite - qui ne serait pas hyper-phallocrate ? Il me semble que très récemment encore même notre Christine Boutin nationale a dû s’y plier - ironie tenace concernant cette dernière, cela en devient presque baroque. Dans ces conditions, Soral a beau jeu de regretter en même temps les républiques certes laïques (où les femmes et les minorités religieuses avaient un statut mieux garanti) mais aussi et surtout dictatoriales, de type Libye, (...)