« Malgré son aspect volontairement froid, sa politique un peu roide, le dandysme spécial de ses manières, réservées et hautaines, il a un cœur chaud et fidèle. Mais il ne le donne pas à tout le monde, car personne n’est moins banal que lui. Sa confiance une fois gagnée, on peut se reposer en lui comme sous un toit hospitalier. On sait qu’on y sera choyé et défendu, au besoin. » (Octave Mirbeau, évoquant Félix Fénéon).
On le disait pince-sans-rire, la répartie en seconde peau, distant comme il se devait, (...)