Que le best-seller de l’été dernier, Inferno, soit une bouse soporifique, c’est dans l’ordre des choses. Mais qu’il milite, l’air de pas y toucher, pour la stérilisation forcée d’un tiers de l’humanité (à la louche) est un tantinet plus dérangeant.
Cette chronique a été publiée dans le numéro 13 de la version papier d’Article11, imprimé en juillet dernier. (Aux impatients du numéro 14 : patience, il arrive incessamment sous cette semaine ; plus d’infos mercredi)
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« ’’J’aimerais bien savoir ce qu’on est (...)