C’est là où le bouquin est sans doute un peu moins convaincant : après avoir étripé en règle l’idéologie travail, il propose quelques pistes pour la remplacer. Parle surtout de mise à bas des intermédiaires mensongers (Etat, politique…), de la nécessité de remettre à zéro notre façon de penser la question, de l’intérêt pour chacun de trouver sa place dans une société où on se cantonnerait à nos besoins et où on aurait du temps pour la vie en général. Ce sont des choses auxquelles je crois, mais je ne pense pas qu’un tel bouleversement soit pour (...)